L’art et la thérapie ont connu dès l’antiquité des liens distincts et étroits. Mais ce n’est qu’au 18ème siècle que l’expression Art thérapie commence à voir le jour avec ses méthodes. Les écoles artistiques se développent, et l’art devient une façon de se soigner. L’art thérapie s’intéresse à des intéractions mentales et psychique de l’être humain, l’art touche les émotions et sensations humaines à travers lesquelles il trouve son essence. L’art et thérapie trouvent son existence joignant les écoles d’art et l’utilité médicale. L’art thérapie endosse un fonctionnement, son sens issu de l’art et des époques. De l’art vient dégager des écoles comme représentatives, romantiques, symboliques… Puis, il commence à devenir une réflexion analytique étroitement liée du mental et du psychique. L’art devient objet, l’être devient humanisé.
Des écoles d’arts et médicales ont grandement contribué aux développement et aux théories, transformant l’art en objet de réflexion psychique. Le surréalisme va décloisonner les écoles d’art, et s’intéresser à l’expression de l’inconscient. L’art thérapie est né progressivement. Il a été corrélé dans des sphères diverses et psychanalytiques médicales au 20ème siècle. L’intérêt est de comprendre l’humain et sa sphère sous des angles différents.
L’art école devient alors l’art comme outil à des buts médicaux et psychiques. Il devient un jeu pour le plaisir. Le JE devient actif, la personne prend sa rééducation ou thérapie, comme un élément intégrant un processus psychique et mental de soins. Le JE devient actif et action.
